Festival Jazzèbre #36 > PIQUE-NIQUE #2 : OKADAÏKAN + LA GRANDE FANFARE

PIQUE-NIQUE #2 : OKADAÏKAN + LA GRANDE FANFARE
Pour ce deuxième pique-nique, nous allons à la rencontre d’un autre territoire, celui de la vallée de l’Agly dans le village d’Estagel. En prélude, nous vous proposons deux explorations dans la matinée. L’une par Hélène du domaine Pons Gralet qui vous invitera à la découverte des hauteurs de la commune, de son patrimoine médiéval, des particularités de la forêt méditerranéenne et des enjeux environnementaux associés. La seconde aux côtés de Gilbert Pratx de l’association Villa Stagello qui vous emmènera à la (re)découverte des murs et terrasses en pierres sèches. Puis, nous vous donnons rendez-vous à la chapelle Saint-Vincent, magnifique site que vous connaissez peut-être déjà, puisqu’il est l’un des lieux du Festival estival Les Jours de théâtre, où La Grande Fanfare vous attendra pour ouvrir le bal. La compagnie estagelloise -Marie est de la nuit- sera aussi présente avec un impromptu musical avant le concert d’Okadaïkan.

10h - Balades à la découverte du territoire (départ place Général de Gaulle)
12h30 - Ouverture du site par LA GRANDE FANFARE
13h30 : impromptu musical CIE MARIE EST DE LA NUIT

14h30 : CONCERT OKADAÏKAN
Balkans, Orient et rêves d’ailleurs
Agnès Ravelo, Gaëlle Houzé : chant • Stéphanie Sultana : chant / clavier • Tony Erdal : clarinette • Cyprien Gauthier : guitare • Nazim Moulay : percussions

Musique pour virevolter, festoyer, se marier ou pleurer, les chants des Balkans brassent les émotions avec intensité et générosité. Ces hymnes à la vie, à l’amour et à la mort traversent les âges en conservant un fascinant pouvoir de séduction, une modernité sans cesse renouvelée. On y loue également Mère Nature, les saisons, les nuages, les chats noirs et les fleurs. Le groupe Okadaïkan porte avec le sourire le flambeau de toutes ces traditions et au-delà. Il.elles s’amusent aussi avec les gammes orientales, les rythmes tziganes, la poésie amoureuse flamenca, la sensualité d’un tango. Le feu des passions brûle dans les polyphonies des trois voix féminines. Parfois, la guitare, l’accordéon, la clarinette et les percussions ralentissent. La fête se termine et cède sa place à la douceur de la lune, à la mélancolie, au souvenir de l’être aimé disparu.